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POUR LUI
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Sourcils : 7€

Lèvres : 6€

Aisselles : 9€

Demi Bras : 9€

Bras Entier : 14€

Maillot Simple : 9€

Maillot Échancré : 12€

Maillot Semi Intégral : 14€

Maillot Intégral : 19€

Demi Jambes : 15€

Jambes Entières : 19€

Formule 1

Demi-jambes + Maillot (simple, échancré) + Aisselles : 32€

Formule 2

Demi-jambes + Maillot semi-intégral+ Aisselles : 35€

Formule 3

Demi-jambes + Maillot intégral + Aisselles : 40€

Formule 4

Jambes entières + Maillot (simple, échancré) + Aisselles : 37€

Formule 5

Jambes entières + Maillot semi-intégral + Aisselles : 40€

Formule 6

Jambes entières + Maillot intégral + Aisselles : 45€

EPILATION 
POUR Elle

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EPILATION 
POUR LUI

(*selon pilosité)

Sourcils : 7€

Epaules : 12€

Aisselles : 9€

Torse complet : 14-29€*

Dos complet : 14-29€*

Demi-jambes : 19-24€*

Jambes entières : 24-29€*

Doigts : 4€

Orteils : 4€

" A SAVOIR : Je ne pratique pas l'épilation du maillot pour les hommes. "

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Avant de passer réservation, pour que je me déplace chez vous, assurez vous au préalable de rentrer dans les critères de ce tableau, en sachant que le kilométrage ce calcul, de la ville de TARSACQ, jusqu'à l'adresse de votre domicile. (Exemple : La distance TARSACQ-MOURENX est de 11,0km, par Google MAPS,

Donc je me déplace sur MOURENX si votre ou vos prestations font un total d'au moins 70€)

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Pour toutes celles qui désirent être encore plus belle

L’épilation consiste à enlever, temporairement ou définitivement, les poils de la peau humaine, masculine ou féminine. Elle peut concerner toutes les parties du corps, des plus visibles (visage, jambes, bras, etc.) jusqu'aux plus intimes (poils pubiens, inter-fessier…).

Les raisons invoquées sont nombreuses et varient selon les cas, les cultures, les classes sociales et les époques, allant de critères religieux ou de signes identitaires à la contrainte sociale et l’intériorisation de normes de beauté, ou encore de confort, d'hygiène (lutte contre les poux et poux du pubis ou teignes) ou invoquant la mode ou les traditions ethniques.

Épilation selon les époques et les sociétés...

Préhistoire

Contrairement à une idée répandue aux XIXe et XXe siècles, l'homme préhistorique n'était pas couvert de poils et quelques indices pour les périodes récentes (âge du métal) laissent penser que le rasage ou l'épilation à la pince était connu et pratiqué, la beauté était déjà devenu évidente.

Égypte antique

Dans l'Égypte antique, les hommes et les femmes s'épilaient avec des pinces à épiler, des pierres ponces, de la cire d'abeille ou à base de sucre. L'épilation intégrale des prêtres avant d'entrer dans les temples était une marque distinctive pour signifier leur pureté.

Grèce antique

L'épilation pubienne était de mise pour les femmes de l'antiquité grecque classique, à Athènes notamment, dans l'optique selon Aristophane d'éviter tout ce qui pourrait les rendre semblables aux hommes. L'expression ή δεινή άκανθα (l'épine douloureuse) (Anthologie Palatine, XI 329,2) faisait allusion aux petits poils durs qui repoussent après l'épilation. Selon G. Cootjans :

« À l'opposé des hommes, beaucoup de femmes grecques préféraient le pubis glabre. En témoignent les statues de l'Antiquité dont le sexe de l'homme adulte est souvent couvert de sa toison naturelle, tandis que celui de la femme est toujours lisse et poli. »

Les femmes grecques assez riches pour cela faisaient appel à des épileuses (ή παρατίλτρια), métier évoqué dans un édit pris par les éphores de Sparte à la demande d'Apollonios de Tyane afin de les chasser des bains publics.

 

3 méthodes d'épilation sont citées par les auteurs antiques :

  • le brûlage des poils à la flamme d'une lampe à huile (ό λύχνος) ; dans une pièce d'Aristophane, une femme décrit élogieusement sa lampe : « Μόνος δεμηρών εις απορρήτους μυχούς λάμπεις άφεύων την έπανθοϋααν τρίχα ; Seule tu éclaires les secrets recoins de nos cuisses, flambant le poil qui y fleurit » ; et Charles Picard décrit une céramique antique (coupe d'Euphronios) dont le décor représente une femme nue qui, les jambes écartées, utilise une lampe pour brûler les poils de son pubis ;

  • le rasoir (Χυρόν) ;

  • des produits dépilatoires (ψίλωθρον ψιλόω Δρέπω), dont « pour rester longtemps sans poils au pubis et sans barbe au menton », Galien recommandant pour cet usage la farine de fève, mais on utilisait aussi d'autres produits dont des emplâtres à base de poix (το δρώπαξ ; du verbe δρέπω, cueillir).

Rome antique

Les Romains s'épilaient après les thermes (le plus souvent les jambes pour les hommes, l'épilation intégrale pour les femmes des classes aisées). Ils connaissaient la pince à épiler dite volsella, et utilisaient comme méthode l'arrachage par l'application de cire d'abeille ou d'épilatoires chimiques sous forme de pâtes dites dropax ou psilothrum à base de poix, d'huile, de résine de pin, de caustiques (chaux vives et sulfure d'arsenic). Des méthodes physiques étaient employées : « brûlage » à l'aide de coquilles de noix incandescentes, pierre ponce. Enfin, d'autres recettes relevaient du philtre magique (sang de chauve-souris, de poudre de vipère ou de graisse d'âne), plusieurs de ces recettes perdurant jusqu'au Moyen-Age.

Au début de l'ère chrétienne, les Carthaginois connaissaient déjà la pince à épiler et la résine. Tertullien impute ces pratiques à l'influence grecque.

Moyen Âge

Les traités médicaux latins de la fin de la période médiévale, de Heury de Mondeville, ou Guy de Chauliac présentent plusieurs méthodes d'épilation qui trouvent leur origine dans le monde musulman chez des savants arabes comme Rhazés et Avicenne notamment. Les personnes des classes aisées s'épilent également avec les méthodes romaines.

Époque moderne

Après la Renaissance, en Occident, les poils pubiens sont associés aux parties du corps désignées comme honteuses par l'église et par une certaine tradition qui peut remonter à l'antiquité grecque, mais si De Graaf Regnatus dans son Histoire anatomique des parties génitales de l’homme et de la femme, qui servent à la génération évoque sur les « parties des femmes qui servent à la génération » « les poils de la partie honteuse » en affirmant que la fonction du poil est « principalement de cacher les parties honteuses », il fait aussi remarquer que « les femmes d’Italie et du Levant l’arrachent comme chose malpropre et malséante. »

De nos jours encore, les communautés de moines jaïn pratiquent rituellement l'arrachage à la main de leurs cheveux.

Concernant les pratiques médicales, longtemps le meilleur traitement des teignes du cuir chevelu a été l'épilation en calotte ou de tous les cheveux, scientifiquement promue (par épilation à la pince) par le Dr Bazin à l'hôpital Saint-Louis de Paris en juillet 1852 (après qu'il a observé la présence de champignons à la racine même du cheveu), avant qu'on ne substitue à ce traitement les rayons X puis des médicaments moins dangereux.

Dans les années 1950, avec M. Cottaz (membre de la ligue naturiste « Vivre ») les naturistes s'interrogent sur l’histoire de l’épilation et ses bienfaits ou méfaits.

Pour Marc-Alain Descamp (1986), sur la base des résultats de premières études statistiques et comparatives faites dès 1972-73 sur les pratiques épilatoires des femmes françaises et marocaines et des points de vue psychologique et social, l'épilation des jambes, des aisselles et pubis participe aussi d'une réinvention du corps.

Dans certaines régions du monde le poil a encore une grande importance identitaire : Obregon (1980) remarque ainsi en étudiant l'importance du poil comme marqueur ethnique en Amérique latine que les Indiens Onas et Alakaluf s'épilent pour se différentier des animaux et « affirmer et préserver ainsi leur humanité par rapport au monde naturel » alors que les métis des zones de frontières (Pérou Mexique) font aussi du poil un facteur de différenciation, mais tout autre : « les femmes non seulement ne s’épilent pas, mais exhibent leur jambes poilues comme signe de non indianité. » De nombreux auteurs comme Frédéric Baillette montrent que le cheveu et l'épilation sont aussi des prétextes ou enjeux socio-religieux et socio-politiques et socio-économiques.

Les types d'épilation

tail de la Naissance de Vénus de William Bouguereau (1879). À certaines époques, les goûts esthétiques dominants ou une certaine censure font que la peinture et la sculpture ne représentent plus les poils pubiens.

L'épilation du visage

L'épilation du visage permet de provisoirement (ou définitivement par certaines méthodes) supprimer le duvet qui recouvre la peau de parties du visage ou qui apparaissent (Chez les femmes, ces poils fins peuvent fréquemment apparaître sur le menton, les joues et sur la lèvre supérieure. Au moment de la ménopause, les changements hormonaux peuvent développer ce duvet).

L'épilation est aussi utilisée pour les poils qui poussent dans les oreilles, les narines et pour séparer plus nettement les deux sourcils (chez l'homme ou la femme). Elle vise parfois à d'éviter des rasages réguliers.

L'épilation des jambes

Chez les femmes, la contrainte sociale ou l’intériorisation de normes de beauté pousse à l'épilation des jambes. La diffusion de l'image d'une femme non épilée en Europe est rare, c'est pourquoi on a tendance à s'imaginer que toutes les femmes sont toujours épilées. Certains hommes s'épilent les jambes pour des raisons esthétiques ou pratiques (par exemple, les cyclistes utilisent cette épilation : une plaie faite lors d'une chute est mieux soignable si la personne est épilée).

L'épilation des aisselles

L'épilation des aisselles ne limite pas les mauvaises odeurs mais donne un aspect jugé plus esthétique par certaines sociétés à cette partie du corps. De nos jours en occident et dans les pays musulmans, la plupart des femmes s'épilent ou se rasent les aisselles. C'est devenu la norme, alors qu'en réalité les poils permettent de retenir le peu d'humidité présente pour maintenir une température convenable, et éviter ainsi au corps un besoin trop important de transpiration. Sans poils, on sue donc plus.

Les hommes le font parfois également.

L'épilation du pubis

De l'antiquité à nos jours l'épilation du pubis a été pratiquée par les uns et rejetée par les autres.

L'épilation du maillot vise à enlever les poils qui dépassent du maillot de bain. L'épilation à la brésilienne, notamment, est une épilation assez échancrée, qui ne conserve qu'une mince bande de poils et un petit triangle devant.

Pour l'épilation dite « ticket de métro », « à l'américaine » ou « brésilien », les poils sont supprimés selon des formes plus ou moins recherchées : soit un simple rectangle étroit aux bords très nets, soit d'autres formes pour rendre les poils les plus discrets possible.

Chez les hommes, l'épilation du pubis est utilisée pour faire paraître le pénis plus grand — la base de celui-ci étant totalement dégagée —, ou, par imitation des femmes, pour des raisons dites « esthétiques ».

L'épilation intégrale

L'épilation intégrale ne laisse aucun poil. On lui reproche d'appauvrir le poil et de révéler les cicatrices. De nombreuses techniques pour parvenir à cette éradication totale des poils, de l'épilation au laser à l'épilation par électrolyse, qui, en détruisant le bulbe pileux, laissent la peau sans ombres grises dues aux poils sous la peau comme avec les autres méthodes d'épilation.

Méthodes utilisées

Différentes méthodes existent pour éliminer les poils. Aucune ne met cependant à l'abri des problèmes suscités par l'épilation (risque d'infection, de repousse de poil incarné, de coupures ou de micro-traumatismes notamment).

 

Méthodes temporaires

  • La pince à épiler

Technique ancestrale, l'épilation à la pince demeure la méthode épilatoire la plus populaire en raison de son caractère simple, rapide, pratique, polyvalent et très économique. La pince à épiler représente l'outil de prédilection pour la finition des sourcils, des aisselles, du maillot et des jambes, tant sa précision reste inégalée, Evidence Beauté l'utilise à chaque prestation. Néanmoins la pince à épiler ne permet pas à un individu de s'épiler de grandes surfaces de peau.

  • Le rasoir

Rapide et efficace, le rasoir reste l'un des moyens favoris de coupe des poils . Evidence Beauté utilise cet outil uniquement à votre demande, et nous vous le proposera jamais. Parfait pour les jambes et les aisselles, il n'est pas conçu pour l'épilation du maillot. Il est conseillé d'utiliser de la mousse spéciale pour éviter coupures et dessèchement. Toutefois le rasage doit être très régulier (environ une fois tous les deux jours) et les poils qui repoussent semblent plus durs car ils sont coupés en biseau.

  • L'épilateur électrique

Il conjugue les avantages de la pince à épiler (arrachage du poil, gage d'une repousse plus lente) et du rasoir (action sur une large zone, là où la pince arrache un poil à la fois et impose une certaine précision pour arriver à saisir le poil). Moins rapide que le rasoir traditionnel, il est idéal pour les jambes. L'épilateur électrique enroule le poil jusqu'à l'arracher avec son bulbe. Cela reste néanmoins relativement douloureux surtout lors des premières utilisations.

  • La cire

Evidence Beauté utilise les meilleurs cires du marché reconnu par les normes Européenne, pour la santé de votre peau. Des bandes de cire permettent d'arracher les poils avec leur racine. Elles sont utilisées chaudes ou tièdes pour dilater les pores (ostias folliculaires) de la peau et rendre plus facile et moins douloureux l'arrachage. Elles peuvent aussi être froides. Ses deux principaux inconvénients sont l'inconfort que la personne peut ressentir et l'attente de la repousse de poils pour continuer l'épilation (l'épilation étant efficace lorsque les poils sont longs). Néanmoins avec une application très fine elle est efficace sur des poils très fins. L'épilation à la cire permet une repousse des poils environ trois semaines après et a l'avantage d'être moins douloureuse que l'épilation électrique. Deux types de cire sont utilisé de nos jours: L'épilation de la cire (température de fusion de la cire 35-40°) et des bandes tissés, ces dernières adhèrent à la peau et englobent les poils grâce à la cire étalé préalablement sur la zone, la cire est étalé avec une spatule réutilisable que l'on peut nettoyé avec du solvant. L'épilation sans bandes est constitué d'une cire qui sèche rapidement au contact de la peau, cette dernière est appliqué avec des spatules en bois réutilisable. Dans les deux cas la cire est arraché le plus rapidement possible dans le sens inverse de la pousse du poil. L'efficacité de la cire chaude pour arracher tous les poils d'une zone provient de sa température, qui ne doit pas être trop froide (car difficile à travailler), ni trop chaude (ce qui l'a rendrait trop liquide et risquerait de brûler la peau).

  • Les crèmes dépilatoires

Des crèmes dépilatoires utilisent un dérivé du soufre pour dissoudre le poil au niveau de la peau et pouvoir l'enlever sans douleur. Cependant, cette méthode nécessite une répétition du geste plus fréquente que l'épilation à la cire puisque la racine du poil n'étant pas arrachée, celui-ci repousse plus vite.

  • La tondeuse

Rapide et sans douleur cette méthode coupe les poils au ras de la peau. Elle implique cependant une action régulière, autant que le rasoir. Contrairement à ce dernier, elle n'irrite pas la peau et évite les poils incarnés. Cet appareil a aussi l'avantage, selon le modèle, de pouvoir disposer de sabots pour la taille des poils restants en ce qui concerne le maillot. L'inconvénient est qu'après le passage de la tondeuse, même sans sabot, il reste une petite partie du poil encore visible, le résultat est donc moins net et moins durable qu'avec un rasoir.

  • Le fil

Cette méthode, qui n'est pas encore pratiqué par Evidence Beauté, est surtout utilisée pour l'épilation du visage, elle consiste à faire un nœud avec un petit fil et à étirer des deux côtés de celui-ci tout en balayant la surface à épiler. Elle est très efficace sur les duvets et retire le poil ainsi que le bulbe et donc permet une repousse lente de celui-ci.

Méthodes durables

  • La lotion épilatoire

Certaines lotions épilatoires, nouvellement mises sur le marché, ont certes le rôle de retirer le poil, mais ont également un rôle inhibiteur sur le bulbe. Elles permettent donc de retarder la repousse du poil, voire de la stopper si l'utilisation du produit est régulière. Cette méthode n'a pas encore fait ses preuves et paraît risquée pour les muqueuses.

Épilation définitive

  • L'épilation électrique

Elle consiste à introduire une aiguille (presque de l'épaisseur du poil) dans le canal pilaire, et un courant de haute fréquence brûle la matrice. Cette méthode était déjà utilisée au début du XXe siècle, seulement c'est le courant galvanique qui était vecteur du résultat. Aujourd'hui grâce aux aiguilles très fines et au courant beaucoup mieux étudié, bien appliquée, elle présente l'avantage d'être radicale dès la première séance, quelle que soit la couleur du poil, sa phase de croissance ou la couleur de peau. Il vaut mieux traiter des poils assez épais qui permettent d'introduire l'aiguille sans blesser le canal pilaire. C'est donc à déconseiller pour les duvets. Cette méthode peut occasionner de micro brûlures cutanées. La cicatrisation est lente (plusieurs semaines) mais ne laisse pas de marque si elle est pratiquée par un spécialiste du corps médical. L'inconvénient majeur est certainement que le traitement s'effectue poil par poil avec un inconfort de douleur parfois important suivant la zone traitée. Les crèmes anesthésiantes sont assez peu opérantes, car elles ont une efficacité d'anesthésie de maximum 3 mm dans le tissu cutané. Or il est courant de pénétrer avec l'aiguille jusqu'à 6 mm. Les zones traitées sont de maximum 10 cm2 par séance, si la densité pileuse est importante.

Malgré ces nombreux inconvénients, cela reste la méthode à conseiller pour les peaux et zones du corps non compatibles avec le laser ou lorsque les autres techniques se sont montrées inefficaces.

  • L'épilation laser

Un laser stérilise les zones traitées en les chauffant, par un phénomène de thermo-coagulation. C'est la mélanine contenue dans le bulbe qui absorbe l’énergie du laser. L'idée est d'augmenter la température du bulbe et de la matrice au-delà du seuil de coagulation cellulaire (au minimum 150 °C) tout en évitant de produire la moindre lésion sur la peau. Ce mécanisme est celui de la « photo-thermolyse sélective ». Un laser n'émet qu'une seule longueur d'onde (généralement 755 nm, 810 nm ou 1 064 nm). Tout comme l'épilation électrique, l'épilation au laser est pratiquée par un spécialiste du corps médical. Cette technique est à pratiquer avec précaution car elle est susceptible de provoquer une stimulation paradoxale, notamment sur certaines zones du corps (visage, épaules) et certains types de peaux (peaux sombres).

  • La lumière pulsée

La lumière pulsée est souvent abusivement confondue avec le laser. L'appareil à lumière pulsée émet une lumière polychromatique, soit une multitude de longueurs d’onde, sélectionnées par un ou plusieurs filtres, s'étendant dans le visible et l'infrarouge (500 à 1 200 nm en général). Cette lumière capte la mélanine du poil, le pigment responsable de sa couleur. Les spécifications du spectre dépendent des fabricants d'appareils.

Les méthodes de photo-épilation fonctionnent idéalement avec des poils sombres sur une peau claire. Une peau foncée (par exemple due à un bronzage) peut aussi absorber l'énergie lumineuse, et entraîner chaleur et douleur. Dans ce cas, il faut réduire le niveau d'énergie de l'appareil et/ou utiliser des longueurs d'onde infrarouges.

Les méthodes de photo-épilation nécessitent des séances régulières toutes les 3 à 6 semaines (cet intervalle dépendant du cycle pilaire de chaque individu) pendant au moins un an. Il ne faut pas arracher les poils entre deux séances afin de préserver les bulbes pour mieux les éliminer lors de l'application de la lumière.

Contrairement à la cire ou l’épilation électrique, la photo-épilation ne génère pas de poils incarnés (quand le poil pousse sous la peau en prenant un chemin différent de son canal habituel, ce qui induit une inflammation des tissus).

Pour conclure, Evidence Beauté s'engage au mieux à répondre à vos attentes, niveau épilation, tout en vous conseillant sur les meilleurs méthodes à choisir pour vous, votre peau, mais aussi pour votre bien-être.

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